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Chronicus & Magazinus

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25 janvier 2007

Premier article : Nelly Furtado

               Nelly_Furtado

Née le 02 décembre 1978 à Victoria au Canada, de parents émigrés portugais. Baignée dans la culture américaine dès son plus jeune âge, elle est influencée par des groupes comme TLC ou Salt N Pepa.

Véritable électron libre, la belle chanteuse originaire des Açores décide de se lancer en solo, après une participation au sien d’un groupe de Trip Hop « Nelstar », et se produit quelques temps dans une boîte de nuit de Toronto. Elle y rencontre le chanteur pop Gerald Eaton qui devient son producteur et la fait signer chez Dreamworks. Son premier album «Whoa, Nelly !» est en marche. Avec le single «I’m Like A bird», ce dernier conquiert à sa sortie les charts britanniques et enchante les critiques.

Après une pause dédiée à sa fille Nevis, Nelly Furtado enregistre en novembre 2003 son second opus : «Folklore». On y retrouve entre autres l’hymne officiel de la Coupe d’Europe de Football qui se tient au Portugal en 2004. L’année suivante s’annonce corsée puisqu’elle se lance au cinéma avec le film «Nobody’s Hero» tout en arrangeant son ultime album, «Loose». Annoncé pour mars 2006. Le fruit d’une savante collaboration entre Timbaland et Chris Martin de Coldplay. Véritable succés en 2006 et même véritable révélation pour tout ce qui connaissaient « I’m Like a bird » mais pas Nelly elle-même.

Timbaland Chris_Martin Gerald_Eaton Tallisman                                                            

     Timbaland      Chris Martin    Gerald Eaton    Tallisman (Nelstar)

Whao_Nelly__ Folklore

       Whao Nelly ! 1st                     Folklore 2nd

Loose

           Loose 3rd

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25 janvier 2007

première chronique : Café olé olé !

Qu’est ce qui motive le café bien serré mal digéré ?Geler_des_terrasse

Chaque terrasses joue son rôle de point d’alimentions liquide et de bavardages passé ou dépassé : -  Tu as vu cette figure, comment oser sortir ainsi ?

Mais à la réflexion, est ce une envie de se montrer ? Une envie de plaire ou de pâlir devant ce qui plait ? Toujours ce côté nombriliste a l’exception qui confirme la règle. Venir pour rencontrer l’autre, celui que l’on a tenter d’entre voir sur la toile mais qui na laisser qu’un doute planer. Et voila encore un café terrasse hors de prix et enfin se visage que l’on ne peut s’empêcher d’observer en dissimulant le geste ! Les mots confus, le lien tissé n’est plu, mais l’on cherche a ne pas finir sur un échec  et l’on ce dis que pourquoi pas tenter plus loin ! Les points communs derrière soi, le dialogue n’en parlons pas et voila, un nouveau mec dans mon lit, obliger de lui mâcher le travail, de l’inciter a plus d’efforts pour au final prendre la veille méthode manuelle pour soulager le trop plein de frustration. Un plan-plan de plus et toujours rien de sérieux. Doit on forcément, se sentir sale ? En tous cas, je me demande comment un simple café peut il nous faire miroiter l’impossible conte fée ?

Mr.Blaster

25/01/07

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